Accueil
>
Salut les Hauts-de-France
>
Icam : 127 ans d'innovation et de formation d'ingénieurs au cœur des Hauts-de-France
L'école reste très proche des besoins du secteur. Cela permet une mise à jour régulière de sa pédagogie. Elle forme ainsi des ingénieurs et techniciens parfaitement adaptés aux exigences actuelles. Cette proximité avec les entreprises est un pilier fondamental de l'établissement. Elle garantit une formation pertinente et très pratique. L'Icam ne se contente pas de transmettre un savoir. Elle forme aussi des individus. Ils sont prêts à relever les défis du futur.
Les étudiants intègrent les défis sociétaux. Ils se préoccupent des enjeux environnementaux. L'écologie intégrale est un concept clé à l'Icam. Il signifie prendre soin de soi, des autres et de la planète. Cette approche se traduit par des projets concrets. Les étudiants montent des initiatives avec des associations. Ils travaillent sur des projets industriels. Ils intègrent les techniques et l'accompagnement au changement. Cette dimension éthique imprègne tout le parcours. Elle fait des ingénieurs Icam des professionnels engagés au service de la société.
Les salariés sont formés à cette approche. Chaque étudiant est accompagné individuellement. L'objectif n'est pas de former un ingénieur standard. Il s'agit de développer pleinement chaque personne. L'Icam forme un sachant. Elle forge aussi un être humain responsable. Il se connaît et comprend son rôle. Cette attention personnalisée est au cœur de l'identité Icam.
Les élèves sont encouragés à se questionner. Ils doivent intégrer la dimension écologique dans chaque enseignement. Les ingénieurs de demain sont des acteurs responsables.
Les projets de groupe sont des moments forts. Ils permettent de progresser en autonomie. Ils offrent aussi un soutien des professeurs. Cette méthode rend la formation très employable. Avoir « les pieds dans le concret » est primordial aujourd'hui. Surtout face à la dématérialisation et l'informatique. C'est ce qui fait la différence des ingénieurs ICAM.
Un stage international obligatoire est inclus. C'est une préparation essentielle pour une carrière professionnelle future dans une économie mondialisée.
Il a découvert une nouvelle culture. Il a appris une nouvelle façon de vivre et de penser. C'était une sortie de zone de confort. Mais c'est là qu'on apprend le plus. Un autre, également revenu du Brésil, a été marqué par la culture humaine. Il a appris l'autonomie et à se débrouiller seul.
C'était découvrir des événements culturels. Il se dit prêt à faire carrière à l'étranger.
Au Brésil, les relations humaines sont plus ouvertes. Cependant, elle trouve l'accueil à l'ICAM très chaleureux. L'école fait tout pour intégrer les étudiants internationaux.
Ils travaillent sur l'innovation produit et process. Ils améliorent les entreprises. L'Icam organise des événements. Le Tech Innovicam est un exemple. Il permet de montrer le savoir-faire des étudiants et ingénieurs. Les entreprises sollicitent l'Icam. L'école démarche aussi les clients. Elle propose ses équipes talentueuses.
Icam : 127 ans d'innovation et de formation d'ingénieurs au cœur des Hauts-de-France
WEO 26/05/2025 à 17h36
L'Icam site de Lille, fondée en 1898 par Philibert Vrau et Camille Feron-Vrau, célèbre ses 127 ans. Cette école d'ingénieurs, ancrée dans le monde industriel, a su évoluer pour rester à la pointe de la formation. Pierre-Jérôme a poussé les portes de l'école pour rencontrer les étudiants et l'équipe éducative.
L'Icam : une histoire ancrée dans le concret et l'industrie
L'Icam été fondée en 1880 par deux industriels du textile lillois, Philibert Vrau et Camille Feron-Vrau. Leur objectif ? Construire une école. Elle devait former leurs agents de maîtrise. Dès son origine, l'Icam s'est donc ancrée dans le monde concret de l'industrie. Johan Léost, directeur du site historique de Lille, souligne cette continuité.
« L'Icam, depuis son origine, est ancrée dans le monde du concret, dans l'industrie. »
L'école reste très proche des besoins du secteur. Cela permet une mise à jour régulière de sa pédagogie. Elle forme ainsi des ingénieurs et techniciens parfaitement adaptés aux exigences actuelles. Cette proximité avec les entreprises est un pilier fondamental de l'établissement. Elle garantit une formation pertinente et très pratique. L'Icam ne se contente pas de transmettre un savoir. Elle forme aussi des individus. Ils sont prêts à relever les défis du futur.
Former des citoyens responsables et engagés
Au-delà de l'excellence technique, l'Icam met l'accent sur la dimension humaine de la formation. L'école forme des ingénieurs. Ils sont aussi des citoyens responsables.
« C'est toute la dimension humaine de la formation, c'est-à-dire pouvoir servir les autres », explique Johan Léost.
Les étudiants intègrent les défis sociétaux. Ils se préoccupent des enjeux environnementaux. L'écologie intégrale est un concept clé à l'Icam. Il signifie prendre soin de soi, des autres et de la planète. Cette approche se traduit par des projets concrets. Les étudiants montent des initiatives avec des associations. Ils travaillent sur des projets industriels. Ils intègrent les techniques et l'accompagnement au changement. Cette dimension éthique imprègne tout le parcours. Elle fait des ingénieurs Icam des professionnels engagés au service de la société.
L'héritage jésuite et la pédagogie ignatienne
L'Institut Catholique des Arts et Métiers, ou Icam, a très tôt été épaulé par les jésuites. Cette collaboration a forgé sa pédagogie. Elle est basée sur l'esprit ignatien. Johan Léost insiste sur cette particularité.
« Cette pédagogie ignatienne qu'ont souhaité nos fondateurs dès le départ, eh bien, aujourd'hui, s'accompagne toujours. »
Les salariés sont formés à cette approche. Chaque étudiant est accompagné individuellement. L'objectif n'est pas de former un ingénieur standard. Il s'agit de développer pleinement chaque personne. L'Icam forme un sachant. Elle forge aussi un être humain responsable. Il se connaît et comprend son rôle. Cette attention personnalisée est au cœur de l'identité Icam.
Une pédagogie concrète et des parcours variés
L'Icam propose trois parcours pour devenir ingénieur. Ils permettent à chacun de trouver sa voie. Mathieu, professeur de génie industriel, détaille ces options :
- Parcours sous statut étudiant (FISE) : Après deux ans de classe préparatoire, les élèves intègrent le cycle ingénieur pour cinq ans trois ans après la prépa.
- Parcours sous statut apprenti : Les étudiants alternent périodes à l'école et en entreprise dès la troisième année.
-
Bachelor international : Ce parcours met l'accent sur l'international. Les cours sont en anglais. À la fin, les étudiants rejoignent le circuit apprenti.
Ce parcours met l'accent sur l'interculturel et les pédagogies innovantes. Les cours sont intégralement en anglais dès la troisième année. Les deux dernières années du cycle ingénieur sous statut apprenti ou sous statut étudiant.
Tous les parcours mènent au même diplôme d'ingénieur. La pédagogie est très concrète. Elle confronte les élèves à des cas réels. Beaucoup de travaux pratiques sont mis en place. La pédagogie par projet est fondamentale. Les étudiants conçoivent et fabriquent des produits.
« La dimension art et métier est très importante », souligne Mathieu.
Les élèves sont encouragés à se questionner. Ils doivent intégrer la dimension écologique dans chaque enseignement. Les ingénieurs de demain sont des acteurs responsables.
Hilaire, en quatrième année de FISE, témoigne de cette approche.
« On est vraiment bien accompagnés, assez proches. »
Les projets de groupe sont des moments forts. Ils permettent de progresser en autonomie. Ils offrent aussi un soutien des professeurs. Cette méthode rend la formation très employable. Avoir « les pieds dans le concret » est primordial aujourd'hui. Surtout face à la dématérialisation et l'informatique. C'est ce qui fait la différence des ingénieurs ICAM.
L'ouverture sur le monde : l'international à l'Icam
L'Icam accorde une grande importance à la dimension internationale. Duc-Anh Duong, coordinatrice pédagogique du bachelor international, le confirme. Les étudiants peuvent partir à l'étranger. Ils peuvent aller en Inde, aux Philippines, au Brésil, en Équateur ou au Cameroun. Ces expériences permettent des rencontres interculturelles. Elles donnent une vision mondiale du travail.
« C'est essentiel [...] de comprendre comment on travaille à l'extérieur, comment on pense à l'extérieur », explique Duc-Anh Duong.
Un stage international obligatoire est inclus. C'est une préparation essentielle pour une carrière professionnelle future dans une économie mondialisée.
Des étudiants témoignent de l'impact de ces séjours. Un étudiant parti au Brésil raconte.
« Ça apporte beaucoup de choses, notamment d'un point de vue humain. »
Il a découvert une nouvelle culture. Il a appris une nouvelle façon de vivre et de penser. C'était une sortie de zone de confort. Mais c'est là qu'on apprend le plus. Un autre, également revenu du Brésil, a été marqué par la culture humaine. Il a appris l'autonomie et à se débrouiller seul.
« Apprendre un nouveau pays, ce n'est pas seulement rester chez soi », dit-il.
C'était découvrir des événements culturels. Il se dit prêt à faire carrière à l'étranger.
Nicole, venue du Brésil pour un double diplôme à l'Icam, partage son expérience. Elle vient d'une école partenaire, La FEI, à Sao Paulo. La culture est très différente ici.
« C'est plus sérieux, plus fermé », dit-elle.
Au Brésil, les relations humaines sont plus ouvertes. Cependant, elle trouve l'accueil à l'ICAM très chaleureux. L'école fait tout pour intégrer les étudiants internationaux.
L'Icam au service des entreprises et de la recherche
Le pôle services aux entreprises
Le pôle service aux entreprises de l'Icam propose des prestations aux clients. Il s'agit d'étudiants de cinquième année. Ils sont en phase de professionnalisation. Ils effectuent des stages ou de l'alternance. Les six autres mois, ils travaillent sur des cas concrets. Ils réalisent des prestations pour des clients. C'est la vie réelle. Johan Léost confirme.
« Ça leur permet véritablement d'appliquer ce qu'ils ont appris d'une manière théorique, d'un point de vue pratique. »
Ils travaillent sur l'innovation produit et process. Ils améliorent les entreprises. L'Icam organise des événements. Le Tech Innovicam est un exemple. Il permet de montrer le savoir-faire des étudiants et ingénieurs. Les entreprises sollicitent l'Icam. L'école démarche aussi les clients. Elle propose ses équipes talentueuses.
Clément et Basile travaillent pour kulhman. C'est une industrie chimique à l'os. Ils développent des supports de formation sur mesure pour leurs machines. Ils ressentent la pression des délais. Ils gèrent un budget et un timing. Ils apprennent l'autonomie. Ils travaillent en équipe. Ils sont préparés à la vie professionnelle.
La recherche appliquée au service de l'industrie
L'ICAM est également un centre de recherche. Delphine, enseignante chercheure, travaille sur l'éco-extraction du végétal. Son objectif ? Valoriser les coproduits végétaux. La recherche est très pratique. L'équipe travaille avec des industriels de la région. Un exemple ? La fine de Chicorée-le-Roux. L'idée est de proposer des solutions. Elles valorisent les coproduits. Les étudiants sont initiés à la recherche dès la troisième année. Ils la poussent en quatrième. En cinquième année, ils font des stages. Ils peuvent même poursuivre en doctorat. Les résultats peuvent être rapides pour des besoins industriels. Mais les thèses prennent trois ans. L'Icam contribue ainsi à l'innovation. Elle répond aux besoins des entreprises locales.
Des formations pour tous et une vie étudiante riche
L'Icam ne se limite pas aux ingénieurs. Le pôle Formation Professionnelle forme des adultes et des jeunes. Il propose des CAP et des titres professionnels. La thématique dominante est la maintenance industrielle. Elle répond aux besoins des industries. L'école accueille aussi les jeunes exclus du système scolaire. Dès 15 ans, ils peuvent intégrer un CAP. Ils apprennent la métallerie, la conduite de lignes automatisées, ou la mécanique automobile. L'objectif est de leur offrir une deuxième chance. Tout est fait dans le concret. C'est l'ADN de l'Icam.
Lohan, en métallerie, témoigne de son apprentissage. Il apprend à souder. Il travaille le métal. Il est en autonomie. Il apprend à travailler en équipe. Il se prépare à son futur métier. Il travaille sur des commandes clients. Il fabrique des gardes-corps ou des escaliers. Il prévoit de poursuivre ses études à l'AFPI de Marcq-en-Barœul. Il veut obtenir un bac pro en alternance.
Icam Lab et la créativité étudiante
L'Icam Lab, présidé par Léo, est un espace de création. Les étudiants peuvent imprimer leurs projets. Ils créent des prototypes. Ils réalisent aussi des projets personnels. L'atelier dispose d'imprimantes 3D, de découpeuses laser. Il y a aussi une zone bois. Les étudiants sont formés dès la première année. Ils apprennent à utiliser les machines. Ils peuvent faire des erreurs. C'est fait pour apprendre. L'atelier vélo est une nouveauté. Il encourage les mobilités douces. Les étudiants peuvent réparer leur vélo. L'Icam Lab promeut la créativité et l'autonomie. Les étudiants sont accompagnés dans leurs projets. Ils reçoivent des conseils. C'est une partie essentielle de leur formation.
La vie en résidence et la solidarité
La vie étudiante à l'Icam est très intense. Aubanne, en première année de bachelor international, habite la résidence. Elle s'est créé une véritable famille. L'entraide est présente pour le scolaire. Les étudiants des différentes années se retrouvent. Ils travaillent ensemble. Ils se donnent des cours particuliers. Les résidences sont au cœur de la pédagogie Icam. Elles forgent l'ingénieur Icam. La solitude de l'étudiant n'y existe pas. La solidarité est forte. Elle perdure même après l'école. Les alumnis sont très nombreux. Près de 24 400 alumni et les élèves sont en activité. Ils sont très présents dans les Hauts-de-France. Ils représentent une grande diversité de métiers. Ils s'impliquent dans la vie de l'école. Ils participent aux conseils de perfectionnement. Ils tiennent des jurys. Ils reçoivent les nouveaux diplômés. C'est une véritable famille professionnelle.
Partager cette page sur :