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Une bagarre entre otaries provoque la fermeture de Pairi Daiza
Le mâle, en période de rut, a réagi violemment au refus. La zone concernée se nomme "La Dernière Frontière". Les responsables du parc ont pris la décision de la fermer. Ils voulaient le retour au calme des animaux. Les occupants de la zone devaient retrouver leur sérénité.
C'était encore le cas vers midi. Cette séparation est nécessaire. Elle permet de garantir la sécurité de la femelle. Elle assure également le bien-être de tous les animaux de l'enclos. La zone a rouvert depuis l'incident. La surveillance reste accrue pour éviter de nouveaux conflits. Le parc privilégie la sécurité des visiteurs et des animaux.
Une bagarre entre otaries provoque la fermeture de Pairi Daiza
Un incident inattendu a secoué le parc animalier Pairi Daiza ce dimanche 8 juin. Une tentative d'accouplement non consentie a provoqué une altercation entre deux otaries de Steller. Le mâle, en pleine période de rut, a montré de l'agressivité. La femelle avait refusé ses avances. Cet événement a entraîné la fermeture temporaire de la zone concernée. Le calme est depuis revenu dans l'enclos des mammifères marins.
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Tension à "La Dernière Frontière"
La situation s'est tendue dimanche matin. Une partie du parc Pairi Daiza a dû fermer. C'était aux alentours de 10 heures. Le directeur de la communication, Hubert Vanslembrouck, s'est exprimé. Il a été interrogé par le média flamand Nieuwsblad. Il a expliqué la cause de l'incident.
"Un mâle otarie de Steller voulait s'accoupler avec une femelle pendant la saison des amours, mais elle n'a pas voulu", a-t-il déclaré.
Le mâle, en période de rut, a réagi violemment au refus. La zone concernée se nomme "La Dernière Frontière". Les responsables du parc ont pris la décision de la fermer. Ils voulaient le retour au calme des animaux. Les occupants de la zone devaient retrouver leur sérénité.
Une intervention délicate et une femelle en sécurité
L'agressivité du mâle a contraint les soigneurs à agir. Les otaries de Steller sont les plus grandes de leur espèce. Les mâles mesurent jusqu'à 3 mètres. Ils peuvent peser une tonne. Le conflit devait être "particulièrement impressionnant". Les otaries communiquent par des grognements et des cris distinctifs. La femelle, Icy, a subi des blessures bénignes. Elles se situaient au niveau du dos.
"Nous attendons que le mâle soit transféré à l'autre bassin", a indiqué Hubert Vanslembrouck.
C'était encore le cas vers midi. Cette séparation est nécessaire. Elle permet de garantir la sécurité de la femelle. Elle assure également le bien-être de tous les animaux de l'enclos. La zone a rouvert depuis l'incident. La surveillance reste accrue pour éviter de nouveaux conflits. Le parc privilégie la sécurité des visiteurs et des animaux.
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