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Cancer, maladies respiratoires, accidents… Quelles sont les grandes causes des décès en France ?
Cancer, maladies respiratoires, accidents… Quelles sont les grandes causes des décès en France ?
NORD LITTORAL
En 2022, les cancers et les maladies cardio-vasculaires sont demeurés les principales causes de décès en France, dans cet ordre. Alors que le nombre de morts liées au Covid-19 a diminué, d'autres maladies respiratoires ont vu leur incidence augmenter, devenant ainsi la troisième cause de décès, d’après un rapport conjoint de la Drees, de Santé publique France et de l’Inserm.
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La France a connu une recrudescence des maladies respiratoires, hors Covid-19, en 2022, les faisant grimper à la troisième place des causes de mortalité. Les tumeurs, notamment les cancers, restent la principale cause de décès, suivies des maladies cardio-neurovasculaires, telles que les infarctus, accidents vasculaires cérébraux (AVC) et insuffisances cardiaques. Après deux années marquées par une forte circulation du Covid-19, ce virus a reculé dans la liste des principales causes de mortalité en 2022, selon une étude publiée le mardi 8 octobre par Santé publique France, l’Inserm et la Drees, l’organisme statistique du ministère de la Santé.
Une immunité collective atteinte ? En 2022, 673 190 décès ont été enregistrés en France, soit un chiffre supérieur à celui des années 2020 et 2021, pourtant marquées par la pandémie de Covid-19. Le nombre de morts attribuables au Covid a chuté de près d’un tiers par rapport à 2021, plaçant désormais cette maladie en cinquième position des causes de décès. Ce recul pourrait, selon l’étude, s'expliquer en grande partie par une immunité collective élevée, à l'échelle nationale et internationale, selon les conclusions de Santé publique France, l’Inserm et la Drees.
En détail, les cancers ont représenté plus d’un quart des décès en 2022, consolidant ainsi leur place de première cause de mortalité. Les maladies cardio-neurovasculaires ont été responsables de 20,8 % des décès. Les décès dus à des maladies respiratoires (hors Covid) ont fortement augmenté, atteignant 6,7 % du total, une progression attribuée en partie aux épidémies de grippe saisonnières de 2021-2022 et 2022-2023, ainsi qu'à la circulation active d’autres virus respiratoires, précise le rapport.
L’étude souligne également une augmentation de la mortalité liée aux accidents. En 2022, 44 800 décès ont été causés par des facteurs externes, soit 6,7 % du total des décès. Cette hausse est en grande partie due à l'augmentation des chutes, des accidents domestiques, mais aussi des accidents de transport.
Une immunité collective atteinte ? En 2022, 673 190 décès ont été enregistrés en France, soit un chiffre supérieur à celui des années 2020 et 2021, pourtant marquées par la pandémie de Covid-19. Le nombre de morts attribuables au Covid a chuté de près d’un tiers par rapport à 2021, plaçant désormais cette maladie en cinquième position des causes de décès. Ce recul pourrait, selon l’étude, s'expliquer en grande partie par une immunité collective élevée, à l'échelle nationale et internationale, selon les conclusions de Santé publique France, l’Inserm et la Drees.
En détail, les cancers ont représenté plus d’un quart des décès en 2022, consolidant ainsi leur place de première cause de mortalité. Les maladies cardio-neurovasculaires ont été responsables de 20,8 % des décès. Les décès dus à des maladies respiratoires (hors Covid) ont fortement augmenté, atteignant 6,7 % du total, une progression attribuée en partie aux épidémies de grippe saisonnières de 2021-2022 et 2022-2023, ainsi qu'à la circulation active d’autres virus respiratoires, précise le rapport.
L’étude souligne également une augmentation de la mortalité liée aux accidents. En 2022, 44 800 décès ont été causés par des facteurs externes, soit 6,7 % du total des décès. Cette hausse est en grande partie due à l'augmentation des chutes, des accidents domestiques, mais aussi des accidents de transport.
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